Attention, le billet qui suit va être particulièrement fourni en texte. Mais j’ai beaucoup de choses à dire sur le sujet, et encore, je me suis restreinte…
Pour ceux qui se demandaient où j’étais passée ces derniers temps, ma réponse va être simple : j’étais au Sydney Entertainment Centre. Késaco ? Un Bercy local, à la fois utilisé pour les compétitions sportives et autres matchs de basket, et pour des spectacles à dominante musicale. Autrement dit, des concerts. Et c’est donc avec M. Robert Zimmerman que j’ai passé mes soirées de mercredi et jeudi.
Pour ceux qui se demandaient où j’étais passée ces derniers temps, ma réponse va être simple : j’étais au Sydney Entertainment Centre. Késaco ? Un Bercy local, à la fois utilisé pour les compétitions sportives et autres matchs de basket, et pour des spectacles à dominante musicale. Autrement dit, des concerts. Et c’est donc avec M. Robert Zimmerman que j’ai passé mes soirées de mercredi et jeudi.
Ben oui, quand on aime, on ne compte pas. Surtout pas ses heures d’ailleurs. Parce que petite anecdote, lorsque j’ai acheté mes billets – en prévente – je les ai acheté dès l’ouverture des réservations, heure australienne. Et comme il était midi down under, retranchez 8 pour savoir jusqu’à quelle heure Bibi a veillé en France lorsque tremblante, elle s’est procurée les billets il y a 3 mois de ça.
Mais croyez-moi, le jeu en valait la chandelle. Comparé au concert de Paris en avril, c’était incroyablement meilleur. Meilleur son, meilleure set-list (même si à Paris on a eu droit à quelques joyaux comme The Lonesome Death of Hattie Caroll) et surtout bien meilleure ambiance dans le public.
Parce que si le public parisien se disait déçu de la perf’ du Zim’, à Sydney, il en est tout autre. La meilleure preuve étant qu’au départ un seul concert était prévu, mais devant l’engouement général, une seconde date a été rajoutée.
Mais croyez-moi, le jeu en valait la chandelle. Comparé au concert de Paris en avril, c’était incroyablement meilleur. Meilleur son, meilleure set-list (même si à Paris on a eu droit à quelques joyaux comme The Lonesome Death of Hattie Caroll) et surtout bien meilleure ambiance dans le public.
Parce que si le public parisien se disait déçu de la perf’ du Zim’, à Sydney, il en est tout autre. La meilleure preuve étant qu’au départ un seul concert était prévu, mais devant l’engouement général, une seconde date a été rajoutée.
Ensuite, voici quelques petites choses à savoir avant d’assister à un concert de Bob.
1 – Bob ne parle pas entre ses chansons. Jamais. La seule exception étant quand, entre les deux morceaux du rappel, il présente ses musiciens, ses « cow-boys ». Donc jamais ô grand jamais, vous ne l’entendrez demander « alors Sydney, ça va bien ce soir ? ».
2 – Les versions studio des chansons, oubliez-les. Bob les considère comme une preview, une maquette et s’amuse donc à les retravailler chaque soir sur scène.
3 – Les set-lists figées, oubliez aussi. Mis à part quelques piliers, quelques standards, Bob change près de la moitié ses chansons chaque soir. Ce qui est fortement appréciable pour celui qui le voit jouer plusieurs soirs d’affilée.
4 – Selon les jours et l’humeur, les concerts peuvent soit être exceptionnels, soit passables, soit parfois, lâchons le mot, mauvais. Il faut savoir prendre ce que Bob veut bien donner.
5 – Depuis quelques temps, Bob passe les trois quart de son set derrière son clavier, perpendiculaire au public. Donc suivant où vous êtes placé, vous risquez de le voir de dos pendant près de deux heures. La guitare, il en joue au début du concert, pendant en moyenne quatre morceaux.
Une fois que vous avez intégré et accepté ces concepts, préparez-vous à passer une excellente soirée. A apprécier le son très rock, folk et country du moment. A savourer ce que Bob vous offre. Et à Sydney, durant ces deux soirs, c’était superbement bon.
Pour ceux qui ça peut intéresser, ci-dessous les set-lists de ces deux soirées. Et pour ceux qui veulent échanger un minimum leurs pensées sur M. Dylan avec moi sont le très bienvenus, étant donné que je n’ai – malheureusement – pas l’occasion d’en croiser souvent. Donc allez les timides, sortez du bois et let me know your thoughts.
Sydney, Australia
Sydney Entertainment Centre
August 15, 2007
1. Cat's In The Well
2. The Times They Are A-Changin'
3. Watching The River Flow
4. It's Alright, Ma (I'm Only Bleeding)
5. When I Paint My Masterpiece
6. Rollin' And Tumblin'
7. Workingman's Blues #2
8. 'Til I Fell In Love With You
9. A Hard Rain's A-Gonna Fall
10. Tangled Up In Blue
11. Spirit On The Water
12. Highway 61 Revisited
13. Nettie Moore
14. Summer Days
15. Masters of War
(encore)
16. Thunder On The Mountain
17. All Along The Watchtower
August 16, 2007
August 16, 2007
1. Leopard-Skin Pill-Box Hat
2. Don't Think Twice, It's All Right
3. I'll Be Your Baby Tonight
4. The Levee's Gonna Break
5. When The Deal Goes Down
6. Cry A While
7. Stuck Inside Of Mobile With The Memphis Blues Again
8. Visions Of Johanna
9. Honest With Me
10. Spirit On The Water
11. Highway 61 Revisited
12. Ain't Talkin'
13. Summer Days
14. Blowin' In The Wind
(encore)
15. Thunder On The Mountain
16. All Along The Watchtower
Dernière précision, la photo en tête d’article n’est absolument pas de moi. Elle date de mai 2007 et a été prise par un photographe de l’AP (si je me souviens bien). Mais, pour ma défense, essayer de prendre une photo de concert avec mon appareil et la proximité du public et des vigiles, est assez compliqué. Moi, mes photos, c’est plutôt ça : des « à la Thierry » ;-)
Dernière précision, la photo en tête d’article n’est absolument pas de moi. Elle date de mai 2007 et a été prise par un photographe de l’AP (si je me souviens bien). Mais, pour ma défense, essayer de prendre une photo de concert avec mon appareil et la proximité du public et des vigiles, est assez compliqué. Moi, mes photos, c’est plutôt ça : des « à la Thierry » ;-)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire