Comme promis, la Grande Barrière de Corail ou Great Barrier Reef (à noter que reef signifie récif, et non pas corail n’est-ce pas Thierry ? ;o).
Mercredi dernier, j’ai donc visité la Grande Barrière extérieure, et plus précisément le récif Agincourt, à bord d’un bateau Quicksilver, une des nombreuses compagnies qui y proposent des excursions. (Petite parenthèse, mais c’est fou le nombre de compagnies différentes qui sont spécialisées dans cette forme de tourisme. Rien que sur Port Douglas, j’en ai compté une dizaine, et je suis persuadée que sur Cairns, la grande ville du coin, leur nombre doit doublé. Ah, capitalisme et profit, quand tu nous tiens !)
Entres autres activités étaient proposées la plongée sous-marine ou scuba diving, le masque-tuba ou snorkelling et un tour du récif en semi-submersible ou no fatiguing. Bref, ne pouvant pas plonger et ne sentant que très moyennent le coup du tuba en plein océan, j’ai paresseusement opté pour la dernière solution.
Mais avant d’en arriver là, gentils touristes en goguette que nous étions, nous avons dû patienter 1h30 avant de nous amarrer à une espèce de plate-forme en plein océan d’où était menée toute l’opération. Et pendant cette traversée, on nous a répété les conseils de sécurité, demander de ne pas marcher ou arracher le corail et d’être gentil avec tout le monde sous-marin. Bref…
On nous a aussi passé un documentaire et expliqué que la Barrière de corail s’étend sur 2300 km et se compose de 2900 récifs individuels répartis sur une surface équivalente à la Grande-Bretagne. Le corail quant à lui, fait partie de la famille des méduses et se différencie par le fait qu’il se construit un squelette en calcaire dans lequel il se réfugie la journée.
Une fois sur le ponton, le troupeau de touristes était lâché et moi, je suis allée me mettre dans la file d’attente pour le coup du sous-marin. Une chance, je n’ai pas eu à attendre plus de cinq minutes puisqu’un groupe était en nombre impair et vu que moi j’étais single, j’ai fait l’affaire pour griller la queue et monter directement dans l’espèce de semi-sub. Bon, ça c’était pour la petite histoire.
Le tour en sous-marin a duré une vingtaine de minutes, on a pu voir et photographier le corail, voir et n’avoir pas le temps de dégainer l’appareil photo pour immortaliser une tortue de mer qui passait dans le coin à la vitesse d’une fusée, transpirer de tout notre soûl car pas de clim’ et aussi pour ma part, être un peu malade parce que mine de rien, ça tanguait ‘achement.
Sans plus attendre, voir quelques images de la Coral See et du corail (mais j’avoue, j’ai été obligée de photoshopper légèrement les photos du corail car, sûrement à cause des vitres teintées du submersible, les photos apparaissaient bleu piscine et le corail était difficile à distinguer. Maintenant les photos sont verdâtres mais on voit un peu mieux les reliefs.)
2 commentaires:
Nan, en Chinois ça se dit bien Coral, j'ai vérifié. Promis.
Bon sinon j'avais raison depuis le début, et tu l'avoue enfin: photoshop est ton ami, et l'eau bleu, ça existe pas.
@ Thierry: mauvaise langue, l'eau bleue existe bel et bien, du moins chez moi (cf les photos de l'océan plus haut). Simplement photographier du corail à travers une vitre ne rendait pas super en photo, d'où les retouches mais uniquement sur les photos du corail, je le jure!
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